Lila Evans - Viens on va se marrer

Evans, Lila

« - LA CLE QUE JE VOUS AI DONNE, C'ETAIT POUR LES CAS D'URGENCE ! - EH BIEN, C'EN ETAIT UN : ON AVAIT PLUS DE TACOS. » - FRIENDS

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nom & prénom(s) ☆ Lila Evans surnom(s) ☆ Lily date, lieu de naissance ☆ 21 Juin 1993 dans une petite ville d'Irlande âge ☆ 22 ans origines ☆ Irlandaise et américaine activité professionnelle ☆ Petits boulots sinon photographe dessinatrice situation amoureuse ☆ Célibataire caractère ☆Je suis fêtarde, peut-être même un peu trop, j’enchaîne les soirées et les mecs c'est comme ça. Toujours (ou presque) de bonne humeur je préfère prendre la vie du bon côté et m’amuser d’un maximum de chose. Ma spécialité ? Les blagues surtout si c’est mon frère chéri qui en fait les frais. De plus petite, j’ai toujours été considéré comme une forte tête, têtue comme une mule, parfois rebelle aussi contre l’autorité parentale ou les règles qui me dérangent, je ne suis pas toujours facile à vivre. Mais j'ai un bon fond, je sais me montrer gentille et attachante, surtout avec ma famille et autre chose, j’adore énormément les câlins je suis quelqu'un de très tactile. Je crois que ça me viens de ma mère, quoi que mon paternel n’était pas en reste non plus. Malgré mon caractère un peu fantaisiste, je ne suis pas une idiote. Ma tête est bien faite et je m’en sert constamment. groupe ☆Chilli Con Carne.

Even at my worst, I'm best with you

QUE PENSEZ VOUS DE L'AMITIE ★ L’amitié est quelque chose de précieuse pour moi mais aussi de fragile si elle n’est pas sincère. Ses connaissances on peut les compter à la pelle mais les vrais amis on ne les compte en général que sur une seule main. VOTRE MEILLEUR SOUVENIR ★ Une nuit où il faisait de l’orage, j’avais si peur que j’ai fini par rejoindre mes parents dans leur lit. Ils m’ont prise entre eux et serrer dans leur bras pour me rassurer et me permettre de m’endormir. Je ne remercierais jamais assez mes parents pour leur patience et tout ce qu’ils ont fait pour moi ou pour Aiden.UNE ANECDOTE MARRANTE ★ Un matin j’ai eu le malheur de trouver Aiden encore trop endormi au petit déjeuné et par gentillesse (si si c’est vrai) j’ai voulu l’aider. J’ai donc placé discrètement un sceau d’eau glacé sur sa porte…. Oui vous devinez la suite quand il est retourné dans sa chambre. Je me suis fait courser à travers toutes les pièces de chez nous mais ça en valait vraiment la peine. On aurait dit un rat tout mouiller avec ses cheveux plaqué et dégoulinant sur sa tête. VOTRE VOISIN IDEAL ★ Je ne suis pas difficile comme voisine malgré que je puisse être un peu bruyante. Mais si vraiment je devais en choisir un, je choisirais un mec sexy qui aime autant que moi faire la fête et s’envoyer en l’air. 20 CHOSES A SAVOIR SUR TOI ★ (tics, manies, habitudes) • Je suis folle de mon chien. •Mon parfum de glace préféré c’est la pistache. •Je ne suis pas du matin, réveille moi trop tôt et tu perds un bras… ou autre chose. •Je passe mon temps à dessiner et prendre des photos (peu importe le sujet) •J’essaye toujours de mettre une raclé à mon frère aux jeux vidéo… avant de me faire botter les fesses 5 fois de suite. •J’adore faire la fête ! un samedi soir pantouflarde ? hum connait pas. •J’ai toujours le sourire aux lèvres, il vaut mieux voir le verre à moitié plein qu’as moitié vide. •La pluie me rend morose, ça ne loupe jamais, dans ces cas à c’est marathon de séries TV. •Quand un mec essaye de se mettre entre mon frère et moi…. Je le vire. •J’ai encore besoin des bras de ma maman de temps en temps. •J’ai un petit secret…. Je dors encore avec un doudou. •J’ai peur des insectes araignées, guêpes abeilles serpents … •J’ai peur aussi des orages… (on ne se moque pas je vous entends d’ici.) •Je joue avec mes cheveux quand je suis stressé et tripote ma veste quand je raconte un bobard. •Je crois encore à l’amour véritable, je finirais forcement par trouver le bon en attendant on privilégie la quantité plutôt que la qualité. •Mon frère est mon héros, je rembarrerais illico toutes personnes qui se permettraient une seule remarque déplacé sur lui. •Je n’aime pas beaucoup le désordre, même si e met la pagaille je finis toujours par ranger plus ou moins vite. •J’ai toute une collection de roman bit-lit. •Le bricolage ce n’est définitivement pas pour moi. •Je ne me débrouille pas trop mal en cuisine.

Your job's a joke, you're broke, your love life's D.O.A.

21 juin 1993, c’est une date qui restera dans le cœur de mes parents. C’est ce jour-là que je poussais enfin mes premiers cris après 9 mois d’attente et de préparation. Dans une petite ville d’Irlande dont je ne me souviens absolument pas. D’après maman et Aiden nous y sommes restés que quelques mois après ma naissance. Ma mère m’as souvent racontée comment s’était passé ma naissance et a chaque fois, elle en parlait avec un sourire attendrie.

« Estelle allongé sur la table d’accouchement traversait pour la seconde fois la mise au monde d’un enfant, sa main serré dans celle de son compagnon, William, qui avait tenu à être présent aux côté de sa femme pour la soutenir dans cet évènement merveilleux. Après bien des souffrances, une magnifique petite fille poussait ses premiers et très bruyants cris. La sage-femme après avoir débarrassé la figure et la bouche de l’enfant la remit à sa mère. Dans ses bras, l’enfant se calmait aussitôt, les yeux rivés sur le visage de sa mère, puis en voyant son père…. Se remit à hurler. L’homme éclata de rire et embrassait son petit front.
-ça c’est bien ma fille… mon adorable petite fille
Estelle souriait et tapait doucement sur le bras de son compagnon
-Notre fille ne l’oublie pas… et elle s’appellera Lila… décida –t-elle en regardant l’enfant fermer ses petits yeux. La sage-femme tendit une paire de ciseaux chirurgicaux au père avec un sourire malicieux et lui demanda s’il souhaitait couper le cordon. C’est à ce moment-là qu’il tomba dans les pommes. Chacun a ses limites. »

Née de mère Irlandaise et de père Américain, je tire le meilleur des deux cultures et je n’ai aucun complexe avec ça. Au contraire je trouve que c’est une force. J’étais un bébé en bonne santé, toujours le sourire aux lèvres. J’ai grandi avec les légendes que ma mère me racontait le soir pour m’endormir ou les moments où elle nous parlait en gaélique, bien décidé à nous transmettre son héritage. Mon frère et ma mère le parlait couramment alors que moi j’ai dû apprendre sur le tas. Toute petite, je voulais faire comme eux alors mon frère s’est mis en tête de m’apprendre. Malheureusement, les premiers mots qu’il m’a appris étaient des insultes et des gros mots. Imaginez la tête de ma mère quand je suis allé les lui ressortir toute contente de moi. Résultat des courses mon frère a écopé d’un sermon bien sentit et deux semaines de corvées et mon éducation linguistique était prise en charge par ma mère. Maintenant que les années ont passé, je parle aussi bien qu’eux, malgré certains couac mais personne n’est parfait.
Ceci dit maman est une femme très gentille avec un cœur en or. Je me souviens quand je revenais de l’école, nous avions un rituel donc elle ne se serait jamais passée avant de me mettre à mes devoirs. Elle nous préparait toujours un chocolat chaud et deux pains au chocolat et nous nous installions dans le canapé, moi collé à elle pour parler de ma journée ou de tout autre sujet qui me passerait par la tête.

<< 16h30, je rentrais de l’école en trainant les pieds, ma journée ne s’était pas très bien passée et j’en avais le cœur gros. Ma mère voyant ma mine déconfite nous fit notre gouter comme habitude et une fois dans le canapé m’attira sur ses genoux, passant une main douce et aimante dans mes cheveux.
-Ma chérie je sens que quelque chose ne va pas… tu peux tout me dire mon ange tu sais ?
Je l’ai regardé avec mes grands yeux d’enfant et aie fondu en larme avant de tout lui raconter. Nous sommes restés longtemps enlacé toutes les deux avant qu’elle pette les plombs en entendant que son adorable petite fille avait été rackettée à l’école et qu’elle décide de prendre rendez-vous avec la maitresse et la directrice de l’école. >>

Ma mère est aussi volcanique que moi, maintenant je sais d’où je tiens ma grande gueule et mon esprit têtu. Mais une mère, on en a qu’une et il faut en prendre soin.

Mon père lui partait souvent à l’étrangers pour son travail mais a chaque retours, il me ramenait toujours un petit quelque chose. Une écharpe, un jouet, une peluche, ou un bibelot, n’importe quoi qui prouvait qu’il avait tout de même pensé à moi. Il n’était pas très souvent là, mais quand il l’était, il était tout à nous, allant même jusqu’as éteindre son téléphone et son biper. Mon père ce héros, oui je peux le dire. C’est avec lui que j’ai appris l’art de pécher et de dessiner. A un de mes anniversaire, il m’avait offert tout un nécessaire a dessin et depuis ce jours-là et d’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours tenu un crayon et un bloc note. Mon modèle favoris était bien sur mon père mais également ma mère quand ils étaient tous les deux assis dans les bras l’un de l’autre. C’est avec eux que j’ai commencé à croire au grand amour et aux coups de foudre. Mais mon prince charmant a moi n’est jamais arrivé… il a du se perdre dans le métro.

Mais mon meilleur confident, mon protecteur et mon meilleur ami reste encore mon grand frère Aiden. Depuis toujours nous sommes très proches et je lui porte un amour inconditionnel. Nous n’avons pas besoin de mots pour nous le dire, les gestes suffisent. Il a toujours été là pour moi, me défendant contre les méchants garçons ou soignant mes genoux écorché quand maman n’était pas là pour le faire. Je ne sais pas ce que je deviendrais sans lui. Je sais qu’il a parfois le mal du pays, et dans ces cas-là, je lui préparais un bon gâteau au chocolat en priant pour que maman et papa ne regardent pas l’état de la cuisine après.

A l’adolescence, les choses ont un peu changé pour moi. Fini la petite fille modèle, bonjour la crise d’ado. A 14 ans je ne travaillais plus à l’école, séchant quelques fois les cours, et ne me consacrait plus qu’as l’art, passant des heures et des heures à dessiner, peindre et écrire. Je me suis trouvé un gout pour la photographie et malgré mes mauvaises notes, mes parents m’ont offert mon tout premier appareil photo. J’y prenais soin et qu’est-ce que j’ai pu en prendre des photos. C’est cette année-là que mon frère m’a offert également l’amour de ma vie. Une boule de poil que j’ai appelé Dagda. Un magnifique labrador qui avait fait partout dans la voiture d’Aiden tant il avait eu peur en voiture. Maintenant Dagda a 8 ans et c’est un vrai pantouflard mais il est tellement attachant quand il vous regarde pour avoir un bout de ce délicieux cookie que vous êtes en train de déguster.

A 16 ans, j’ai commencé à faire le mur pour sortir le soir avec mes amis et faire la fête toutes les nuits. Avec le recul, je m’en veux un peu d’avoir causé tant de nuits blanches à mes parents et tant de soucis. Mais sur le moment ça me paraissait tellement cool et normal de découcher. C’est à partir de là que j’ai enchainé les erreurs et c’est pendant une fête que j’ai perdu ma virginité avec un gars plus âgé que moi. Je l’ai tout de suite regretté quand j’ai compris que ce gars ne me regarderait plus maintenant qu’il avait eu ce qu’il voulait. A cette époque-là, je commençais également à fumer, défier l’autorité parentale et déraper sur es chemins douteux. Si mon frère ne m’avait pas rattrapé, je ne sais pas où j’en serais aujourd’hui…

<< une fête d’étudiant un soir d’été, j’avais encore fait le mur pour sortir et ne m’était pas méfié des dangers que j’encourrais. J’y étais venue avec une amie que je n’arrivais plus à retrouver dans la masse de gens présente. Les garçons étaient beaucoup plus âgés que moi, et j’avais beaucoup trop bu. Je sentis une main autour de ma taille, un souffle dans ma nuque, une proposition de visiter la maison et de fil en aiguille je me retrouvais dans une chambre à me faire peloter par un garçon dont je n’avais même pas envie. J’ai bien essayé de le repousser mais il était beaucoup plus fort que moi, j’avais beau lui dire non, il ne m’écoutait pas, n’ayant qu’un seul objectif en tête. Une paire de main l’as soudain attrapé par le col et l’as éloigné de moi hurlant que s’il recommençait a profiter d’une enfant de 16 ans il le tuerait. Cette voix c’était mon frère qui m’avait suivi malgré toutes mes précautions. Je n’avais pas les idées claires et tout était flou pour moi. Il me soulevait dans ses bras, nichant ma tête au creux de son cou.
-Aiden…
-Chut ma puce ne t’inquiète pas je te sors de là… >>

Je ne sais pas comment il n’as pas tué ce mec ce jours-là mais toujours est-il qu’il n’en a jamais parlé aux parents ce dont je lui suis extrêmement reconnaissante. Depuis cette nuit-là, je lui ai fait la promesse de ne plus me mettre dans de telles situations. Et je me suis légèrement assagi, même si j’aime toujours autant faire la fête. Mais au moins je ne me mets plus la tête à l’ envers ou qu’en de rares occasions. Je me suis dirigée par la suite vers une école d’art, en adéquation avec mon talent et mes passions et j’ai fini mon cursus il y a un an. J’ai quitté les états unis pour suivre mon copain dans un tour du monde, contre l’avis de mes parents et même de mon frère. Et malgré ses mises en gardes contre ce home, je n’en ai fait comme à mon habitude qu’as ma tête. Et une fois encore il avait comme d’habitude raison à propos de lui. Je me suis séparé et maintenant de retour. Ne voulant pas réintégrer le domicile familial après cet échec et sans travail pour me prendre mon propre appartement, je croise les doigts pour que mon grand frère m’accueil, moi ma grande gueule et mon chien.

hors-jeu: