owen ♦ take me to church

owen fitzgerald

« - LA CLE QUE JE VOUS AI DONNE, C'ETAIT POUR LES CAS D'URGENCE ! - EH BIEN, C'EN ETAIT UN : ON AVAIT PLUS DE TACOS. » - FRIENDS

✽ ✽ ✽

nom & prénom(s) ☆ owen fitzgerald. surnom(s) ☆son petit surnom depuis tout petit dans sa famille, c’est ouistiti, oui comme le singe, mais très très peu de gens l’appellent encore comme cela, parce qu’il compte devenir PDG d’une société, c’est pas rien, et être nommé ouistiti quand on a un grade aussi haut placé, c’est quand même peu gratifiantdate, lieu de naissance ☆ il est né en américaine, à new-york, malgré que toute sa famille vient d’Allemagne âge ☆ 32 ans. origines ☆ il est américain, mais tout le reste de sa famille est allemande, c’est d’ailleurs l’une des langues qu’il parle, surtout pour les jurons. activité professionnelle ☆ futur PDG d’une grande entreprise, celle du père Hamilton situation amoureuse ☆ il est fiancé à une femme qu’il n’est pas censé aimer pour les affaires, même si au fond, elle compte plus qu’il ne le fait paraître caractère ☆Manipulateur + ambitieux + égoïste + impulsive + séducteur + infidèle + fêtard + jaloux + possessif + agressif + intelligent + rancunier.faq>groupe ☆pizza.

Even at my worst, I'm best with you

QUE PENSEZ VOUS DE L'AMITIE ★ l’amitié aux yeux d’Owen est une part importante dans sa vie, c’est la seule chose que ces parents ne lui ont jamais réellement dicter malgré leur mise en garde quant à certaines de ses fréquentations, c’est plus facile que l’amour, plus facile que le reste. L’amitié c’est léger et à la fois, c’est fort. VOTRE MEILLEUR SOUVENIR ★ C’était un soir d’automne, la meilleure amie d’Owen et lui-même étaient assis dans un coin de la propriété Fitzgerald, ils avaient un joint à la main, c’était l’époque où ils voulaient tout tester, où tout paraissait accessible, sûrement parce qu’ils avaient de l’argent. Ils se sentaient au-dessus du monde, la nuit passé, Owen avait acquis le pouvoir d’être un homme. Il avait fait l’amour pour la première fois. Coucher, il l’avait fait des millions de fois, mais pour la première fois il avait eu un déclic au fond de lui, un petit quelque chose qui avait lacéré son cœur de la meilleur des manières, mais qui l’avait effrayé tout de même. Ce soir-là, Miranda et Owen avait parler de tout et de rien, il ‘y avait pas de jugement à avoir, pas de problèmes d’argent, pas de peur, tout cela recommencerait le lendemain matin ils le savaient. Miranda devrait faire semblant de ne pas connaître son meilleur ami, car ils ne font pas parti du même monde. UNE ANECDOTE MARRANTE ★ Peut-être que ça ne paraîtra pas marrant à vos yeux, mais ça l’est aux yeux d’Owen. Un soir, il devait aller à une sorte de gala organisé par sa famille, comme toujours, ou peut-être par la famille de Camilla, enfin, il ne sait plus vraiment. Et à la fois, il devait aller à une fête avec des élèves de sa classe, cette génération riche et dépravé, du moins qui essaye de se donner un genre torturé, toujours en ayant un style bon chic, bon genre. Et bien, il a réussi à faire les deux à la fois, courant de l'une à l’autre à moitié saoul, essayant d’articuler un discours devant une foule de personnes dont il ne connaissait que les noms et les ragots à leur sujet, et tentant de boire cul-sec d’un autre côté les verres que lui passaient ses amis. VOTRE VOISIN IDEAL ★ Le meilleur des voisins ? Ce serait une femme avec de gros seins, un gros cul… Oups. Bon soyons sérieux, le meilleur des voisins, ce serait un voisin qui ne se mêlerait pas des affaires des autres, qui resterait à sa place. C’est celui qui malgré qu’ils viennent boire des bières dans votre salon, devant un match de football américain, ou de baseball, n’essaierait pas de se faire votre femme. C’est une femme qui viendrait boire le café sans écouter les ragots, et sans raconter ce que vous lui dites au reste de l’immeuble. C’est celui qui a des enfants, mais qui ne vient pas vous les déposer tous les jours « parce que c’est une urgence selon elle ». C’est celui qui décide de faire la fête, le week-end en vous invitant, plutôt que celui qui fait la fête la semaine sans vous inviter, et qui décide en plus de vous réveiller à 4 heure du matin, parce que les pompiers sont venus après une chute dans l’escalier. Enfin, bref le voisin parfait, ça n’existe pas. Parce que le voisin parfait, c’est l’humain parfait. 20 CHOSES A SAVOIR SUR TOI ★ (tics, manies, habitudes) Il fait partit d’une famille très riche, et doit être nommé PDG de l’entreprise de sa « fiancée » - Il a une meilleure amie depuis son enfance, qui ne fait pas parti du même monde que lui, mais qu’il aime comme une soeur, c'est la fille de sa bonne – son grand père a été résistant lors de la deuxième guerre mondiale, alors qu’il était allemand. – il est très capricieux, et possessif, ce qui lui appartient, lui appartient.- il ressent des sentiments pour la jeune Camilla mais décide de les enfouir en lui malgré tout, sûrement parce qu’il a peur de tout cela, il le cache en allant draguer de multiples femmes. – encore quelques fois, il se drogue comme quand il était jeune, surtout quand son moral est au plus bas. – il adore les animaux, c’est l’une des choses qu’il aime par-dessus tout, et qui dévoile son côté sentimental, dans un sens. – il est manipulateur quand il le veut, enfaite , il l’est surtout quand il veut obtenir quelque chose. – il ne sait pas vraiment ce que c’est l’amour, ça lui fait peur, c’est sûrement pour ça qu’il n’a jamais voulu entretenir une relation sérieuse avec Camilla. – Il est forcé de sortir avec la jolie blonde car ces parents sont en faillite. – il pourrait passer sa vie devant des séries, car il faut l’avouer, c’est un vrai pantouflard quand il s’y met. – il est dans presque toutes les soirées UP, il veut garder un minimum d’honneur que le nom de sa famille reste dans la bouche des personnes du grand Monde. – malgré que ce soit un « pauv’ con » selon les dires de la blonde, il sera toujours là pour sa famille, ses amis, et ainsi que ses voisins surtout les vieilles dames. – sa famille lui a toujours dicté ce qu’il devait faire, c’est d’ailleurs pour cela qu’il n’a jamais présenter son meilleur ami à qui que ce soit. – il a toujours rêvé d’avoir une petite sœur, mais il n’en a jamais eut.

Your job's a joke, you're broke, your love life's D.O.A.

« Tu ne joueras jamais plus avec cette pouilleuse Owen ! Veux-tu que je te rappel qui était ton grand-père, c'était un grand homme, il s'est battu… » la mère Fitzgerald, continuait de hurler des choses incompréhensibles à l'oreille de son fils, tandis que ce dernier marmonnait quelque chose dans ce style-là : « Il s'est battu contre le nazisme. Il s'est battu contre les gens qui voulaient une race suprême au dessus de tout le monde. Tu aurais vécu à cette époque-là, t'aurais été un nazi, maman. ». Elle s'était tourné d'un geste brusque vers lui, bien sûr, il avait murmurer ces choses-là, de manière à ce qu'elle ne puisse entendre qu'un bourdonnement. « Pardon ? Qu'est-ce que tu dis là ? ». Une moue faussement boudeuse s'était dressé sur les lèvres abîmées du jeune blondinet, ses épaules paraissaient lourdes sous le poids des paroles de sa génitrice. « Rien. Je pensais juste… Que vous aviez raison. Je ne verrais plus ce garçon. Promis. ». Ces doigts, cachés derrière son dos, s'étaient croisées dans son dos. Cette discussion concernait Miranda. Miranda, c'était une petite fille, plus jeune qu'Owen, elle habitait dans la rue en face de celle du blondinet, mais sa mère était la femme de ménage de la famille Filtzgerald. Celle où vivait des personnes moins riches que les Fitzgerald. « Des boulets de l’État » comme disait papa. « Ceux qui dévorent nos impôts » comme disait l'oncle Richard, des multiples paroles qui brisaient un peu plus le cœur du petit garçon. Miranda était la petite sœur qu'il n'avait jamais eut. Et Miranda ne bouffait pas les impôts. Elle allait à l'école, comme lui. Et sa mère travaillait dur pour finir les fins de mois. Miranda savait écrire. Elle savait compter. Elle était habillée quelques fois avec quelques tâches sur le pantalon, même que des fois, sa mère criait très fort parce qu'elle ne voulait pas qu'on pense qu'elle s'occupait mal de son enfant, sûrement parce que le père de Miranda, il était pas là, il était soldat apparemment – même si on apprendra par la suite, qu'il ne l'était pas vraiment - . Alors, que la mère du Fitzgerald, elle s'en foutait. Elle disait juste à la bonne de laver les affaires du jeune homme. Ce soir-là après la dispute, le jeune homme s'était enfermé dans sa chambre, et avait regarder par sa fenêtre, de là il voyait le grand immeuble où était entassé toutes les familles comme celles de Miranda. Une légère brise frôlait son visage avec douceur, c'était une fin de septembre plutôt chaude par rapport à d'habitude. Il n'avait que onze ans, mais déjà il avait compris que son amitié avec la petite voisine d'en face devrait rester à jamais secrète. Qu'il y avait des mondes qui ne se mélangeaient pas, ou que dans de très rares cas. Parce que c'était comme ça, c'était les codes de la société qui voulait ça. Les riches étaient des connards avec un égo-surdimensionné. Et on apprenait au blond à être un connard. C'était sa destinée. Alors il feindrait d'en être un pour toujours. Pour protéger sa meilleure amie.

« Mon fils, voici Camilla, tu t'en rappelles ? C'était la petite blonde que tu connaissais avant. La fille de mon associé. » Owen avait bien grandit, mais il se rappelait encore de la petite blondinette à qui il s'amusait à tirer les couettes, alors qu'elle hurlait en se plaignant à ses parents. Elle n'était pas vraiment l'amie du blondinet à cette époque-là, mais, on ne peut pas dire que ce dernier était le meilleur des gamins. Il était l'archétype du gosse chiant. Celui qui s'amuse à regarder sous les jupes des petites filles, qui ment à ses parents lorsqu'on vient rapporter ses bêtises, et croyez-moi, il en faisait beaucoup autrefois. D'ailleurs même encore maintenant, mais c'est l'éducation que lui avait donné ses parents. Un con, voilà ce qu'il était et d'autant plus maintenant. Ses doigts avaient attrapés le poignet fin de la jeune femme désormais bien formé. « Alors, c'est toi. T'as bien grandis, crois-moi. » Ses yeux s'étaient orientés vers les nouveaux attributs de l'adolescente de dix-sept ans, tel que sa poitrine. Oui, effectivement, surtout sa poitrine. Lorsque ses yeux se redressèrent vers son visage, il était écarlate, et ses bras s'étaient croisés autour de ses formes pour essayer de les dissumuler. Un rire rauque, et assuré sortit d'entre les lèvres rosés du jeune garçon. « Faut pas en avoir honte, c'est plutôt cool. C'est mieux que tes couettes toutes moches que t'avaient quand on était plus jeune. » avait-il susurré, tandis que son pouce venait se glisser contre les pommettes rosées de Camilla. Durant plusieurs mois, ils avaient joués un jeu de séduction. Owen pensait tenir les rennes, il pensait avoir le dessus, jusqu'au jour où… Ils se donnèrent l'un à l'autre, oui, ils firent l'amour. Dans un coin reculé de la maison de campagne des Fitzgerald. Les mères étant partir faire « une promenade », et les pères parlaient affaire. « N'est pas peur, laisse-moi faire. Tu ne peux rien faire de mal, il ne faut pas t'inquiéter pour ça. » les lèvres du blond étaient collés à l'oreille de son amoureuse, tandis que tout doucement, il lui enlevait sa pureté. Lui, avait depuis longtemps passer le cap. Avec de multiples filles, il avait couché. Mais, il n'avait jamais fait l'amour. Jamais. Et, c'est ce qui lui fit peur, ça l'effraya. Il avait déjà d'une faiblesse, Bill. Il ne lui en fallait pas plus. Alors, il évita tout contact avec cette sorcière qui avait ensorcelé son coeur, enfin ce qu'il semblait encore rester de cet organe après cet événement.

Un après-midi après les cours, une petite bouille blonde se trouvait devant les grilles dorés du lycée privé du jeune homme, on ne peut plus familière. « Qu'est-ce que tu fais là, Camilla ? » avait-il alors essayer d'articuler, sans montrer son fort étonnement. « Je suis venue te voir, il me semble que tu m'évites en ce moment, donc bon… Il fallait bien que je trouve un moyen de te voir. ». Les sourcils de l'adolescent se haussèrent comme pour feindre un faux-étonnement. Ses deux lèvres s'étaient pincés ensuite l'une contre l'autre, il devrait lui mentir, c'était comme ça. De toute manière, il ne se voyait pas avoir une relation amoureuse avec toi. Parce qu'il se devrait d'être sérieux avec toi, c'était comme ça. Il n'aurait pût te faire du mal. Mais, c'était un connard. On l'avait prédestiner à l'être, toute la société avait décider qu'Owen soit un pauvre con, et la seule qui connaissait la vraie face de ce dernier, c'était Miranda. D'ailleurs, elle débarqua subitement. Elle savait tout sur tout, également sur les sentiments de son frère adoptif. « Allez chéri, on y va. » Elle venait de lui sauver la peau, une fois de plus. Camilla s'en était aller, les joues écarlates une nouvelle fois, cela devenait une habitude lorsqu'elle se trouvait en compagnie de son bourreau des coeurs.

Quelques années plus tard, les affaires n'allaient guère dans le bon sens. La courbe tombait plus qu'elle ne se redressait autant chez les Filzgerald que chez les Hamilton. Alors, les parents prirent une décision qui allait changer le cours des choses. Un soir après une bonne journée de travail, les parents F. étaient assis autour de la table. Jamais, on ne s'asseyait autour de table, à pars quand la tante Elizabeth était morte. Mais, cela date d'il y a 22 ans, oui. Un regard inquiet avait noircis les yeux du jeune homme, un sourcil s'était dressé, alors qu'il prenait place sur l'une des grandes chaises en bois, brodé à la main par on ne sait quel chinois. « Qui est mort cette fois-ci ? » avait-il lâché tout naturellement. « Tu n'pourrais pas être plus classe, vraiment ? » La mère avait l'air exaspéré, et le père lui… Il avait juste l'air de préparer un sorte de long discours, c'est d'ailleurs ce qu'il fit. « Fils, je sais que ça n'a pas toujours été rose entre nous deux. Mais, maintenant que tu t'ais rangé dans le droit chemin, j'ai une lourde tâche à te confier. Notre entreprise est en faillite, et nous avons besoin d'associer, et surtout de garder notre nom au sein de la haute société, alors, j'aimerai te demander une faveur. » Après ces quelques mots, un long silence suivit. Peut-être qu'il attendait une réponse. Mais Owen le fixait d'un air incrédule, quel était ce service ? Il allait lui demander de lui vendre la porsch ? Ah non, qu'il vende déjà l'une des siennes, et on pourrait négocier ensuite. « Te rappelles-tu de Camille Hamilton ? Tu sais, la fille sur qui tu craquais quand tu étais un peu plus jeune. » Et d'un pincement au coeur, et d'un. « Nous aimerions que tu te fiances à elle. Oui, je préfère être direct. Nous avons besoin de plus d'argent, et sa famille aussi. Un sorte d'arrangement partagera ainsi les richesses en deux, et on se retrouverait tous content dans l'histoire. » avait-il alors conclut comme si la discussion portait sur l'achat d'un quelconque produit ménager, ou d'un meuble sans importance que l'on déposerait dans le salon. « Et, moi, je suis obligé de répondre oui, j'imagine. Faisons ça. Et le divorce n'est pas envisageable, hein ? ». Il n'eut aucune réponse.

Quelques semaines plus tard, déjà, une bague qui valait une fortune ornait le doigt de la jeune blonde. C'était vraiment le comble, la femme avec qui il avait eut peur de s'engager, était désormais sa fiancée de force, c'était vraiment le comble du comble. Et, elle en pinçait pour son voisin. Pour son voisin, ce type là, aux cheveux remplient de gel, qui se dressaient sur sa tête. « Trésor, tu sais maintenant que l'on est fiancé, il faudra que tu évites de te taper le voisin d'à côté, ça pourrait être mal vu. » Aucune classe, hein, vraiment aucune. Mais après tout, nous ne vous avions pas dit qu'il était vraiment possessif, doublé d'un salopard ? « J'espère que t'as laissé de la place dans le placard, j'aimerai bien y déposer quelques affaires. Puis vu que je suis le dernier homme de ta vie, je pense pouvoir te loger quelques heures dans mon emploi du temps, à moins que tu préfères les passer avec l'autre-là, comment il s'appelle déjà ? » Et d'une pique, et d'une. Il s'était tourné vers la blonde avec un sourire narquois qui cassa la commissure de ses lèvres, l'Enfer commençait, d'autant plus que Miranda, la rivale venait de frapper à la porte.

hors-jeu:

Bienvenue

Bienvenuuue owen ♦ take me to church 1370854201

Très bon choix de scénario ! owen ♦ take me to church 4075378026

Oh oui! Au départ, j'hésitais même avec le tien Miranda!
Merci beaucoup les filles! owen ♦ take me to church 276994393

On se trouvera un super lien, dans ce cas owen ♦ take me to church 1370854201

Bienvenue parmi nous owen ♦ take me to church 3313264804

et bon courage pour ta fiche owen ♦ take me to church 568462871

Alexander, merci et oui il m'en faudra du courage. owen ♦ take me to church 568462871

Miranda, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii un super méga lien! owen ♦ take me to church 3915681489

Toi et moi on va faire plein de bébés owen ♦ take me to church 1970091150

Pleins, pleins, pleins, pleins de bébééééééééééééééés. owen ♦ take me to church 883383234

Bienvenue

(même si je ne suis pas encore validée ni membre par conséquent x)) et très bon choix de scénario owen ♦ take me to church 1370854201

Ah alors, c'est toi qu'à piquer le scénario! Aha, non je rigole! Sachant que t'es techniquement " le copain " ou le " je-ne-sais-quoi " de ma meilleure amie, il nous faudra un lien dès qu'on sera validé nous deux! owen ♦ take me to church 1834144369

Je proteste, j'ai rien fait moi owen ♦ take me to church 1564443005

Disons plutôt le "je-ne-sais-quoi" pour le moment aha owen ♦ take me to church 81388277

Et oui un lien, je te réserve une place bien au chaud owen ♦ take me to church 1370854201

Mouahaha je sens qu'on va bien s'amuser tous ensemble owen ♦ take me to church 1370854201

Je te valide, ta fiche est parfaite trésor owen ♦ take me to church 1958008135

On va pouvoir vite s'occuper des bébés owen ♦ take me to church 1653570622

Bienvenu par ici. owen ♦ take me to church 3865059575

Sean, merci beaucoup! I love you

Camilla, on va pouvoir débuter notre usine à bébé, trésor. owen ♦ take me to church 1958008135

Liam, y'a intérêt à ce que j'ai une place bien au chaud. owen ♦ take me to church 1564443005

» we are in the same shit (owen&camilla)

owen ♦ take me to church

owen ♦ take me to church

Sujets similaires

Sujets similaires